Jusqu’à un passé récent, les pêcheurs au toc n’avaient pas trop de questions à se poser. Ils pêchaient aux appâts naturels, fondement de la technique, sur lesquels reposaient non seulement son efficacité, mais aussi la confiance qu’elle inspirait. Leur seule question les concernant tournait donc autour de l’appât à choisir, question assez simple à l’ouverture, pour laquelle trois appâts – ver, teigne et larves aquatiques – suffisent pour faire face à la plupart des situations. Les nymphes et appâts artificiels offrent, depuis quelques temps, de nouvelles opportunités au pêcheur.
Praticité
Du point de vue de la praticité, l’avantage va sans surprise à l’artificiel. Nymphes et appâts synthétiques n’ont guère d’exigences particulières question conservation. Ils peuvent être achetés facilement chez tout bon détaillant ou montés bien à l’avance pour les nymphes. Ils sont toujours prêts dans leur boîte ou sachet. Il faut reconnaître que c’est diablement pratique! Les appâts naturels sont plus contraignants. Certains s’achètent (ver et teigne), mais d’autres, comme les larves aquatiques, doivent être récoltés, ce qui prend du temps. Quant à la conservation, elle est enco
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