Publié le : Dernière Mise à jour : 14.07.2022Par : Christophe CourtoisLecture : 3 min.
À l’orée d’une troisième vague, j’écris ces mots empreints d’une certaine inquiétude. Si d’un côté le nombre de ventes des magazines pêche du groupe n’a pas été impacté à la baisse (bien au contraire), de l’autre nous risquons de devoir une nouvelle fois laisser nos cannes au fond du garage à accumuler une pellicule de poussière. J’espère que nos politiques nous laisseront un peu de liberté pour pratiquer notre passion en plein air. Est-ce un rêve ou le début d’un autre cauchemar ? Si nous devions être confinés, espérons une dérogation pour pouvoir aller au bord de l’eau !
À L’HEURE OÙ J’ÉCRIS CET ÉDITO, il est encore trop tôt pour savoir s’il y aura ou pas un troisième confinement, mais je ne serai pas surpris qu’il en soit ainsi dans quelques jours, quelques semaines. Je n’ose imaginer la nouvelle cacophonie. Les fédérations de pêche diffuseront ici et là des communiqués dissonants par manque d’informations de notre instance nationale qui, j’espère, aura cette fois-ci anticipé et envoyé une lettre à notre cher président. J’entends déjà monter la clameur des révoltés, appelant haut et fort au boycott de la carte de pêche, quand d’autres réclameront derrière un clavier un geste de la part de nos instances o
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