1. En amont
Pour ma part, je vérifie 3 applications quasi systématiquement. Premièrement, Météociel, non pas pour déceler la variation dépressionnaire qui va me rapporter la grosse commune du lac qui ne s’alimente qu’à 998 hPa exactement, mais plutôt pour éventualiser la sauce à laquelle le ciel capricieux va me manger. Ensuite, Niv’eau ; là encore, l’accès aux mises à l’eau m’importe peu car, tel un marcassin dans sa bauge, le pêcheur en barrages, accompagné de ses fidèles waders, ne craint pas de se mêler à la boue pour mettre à l’eau son embarcation de fortune, qu’il peut porter sur son dos, non sans difficulté. Cette seconde application permet plutôt d’anticiper le marnage, ou du moins de s’en faire une idée indicative, tel un investisseur en bourse. Dans un troisième temps, je checke Chart Viewer, un onglet gratuit et approximatif (tout se paye aujourd’hui) de Navionics, qui a tout de même l’avantage de dégrossir à quelques mètres près les profondeurs du secteur convoité. À la mise à l’eau, je prends le soin d’enregistrer ces informat
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