Parmi la panoplie du pêcheur moderne, il est un outil pratique et (parfois) peu onéreux qui peut changer la vie d’un traqueur de mucus : la couverture étanche, ou couv’étanche pour les intimes. Aussi bien en abri unique, pour s’abriter en mode minimaliste (idéalement lorsqu’il n’y a pas de déluge à l’horizon) que pour optimiser le confort d’un abri classique, elle sera toujours votre allié pour vous préserver des conflits humano-climatiques. Cet écrin de douceur ne me quitte plus et après une bonne quinzaine d’années d’utilisation, c’est un des éléments dont j’aurais le plus de mal à me passer aujourd’hui, quelle que soit la saison. Je ne compte plus le temps passé enrouler dedans, ni le nombre d’utilisations un peu plus « urbaines ».
Dans les magasins de pêche, on peut souvent distinguer 2 principaux types de couvertures.
La couverture étanche « simple » en polyester fin, qui a l’avantage d’être légère, compacte (reste pliée dans le bed) et suffisamment respirante. Ce dernier point est intéressant lorsque l’on choisit de ne s’abriter qu’avec une couv’, qu’il pleut et que l’on doit garder la tête en dessous toute la nuit. Au fil des années d’utilisation, ces couvertures nécessitent une réimperméabilisation, notamment au niveau des couture
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