Ultra-versatiles, les shads servent à tout, partout et en toutes conditions. Que les eaux soient chaudes ou froides, et quelle que soit la météo, ils sont capables de proposer des solutions qui déclencheront des touches. Moi qui suis un fervent utilisateur de leurres durs, je dois avouer que je leur laisse de plus en plus de place dans mes boîtes, et surtout, au bout de ma ligne.
Il faut dire que leur plage d’utilisation est immense et qu’ils prennent des poissons de toutes tailles. Si d’aventure il faut descendre en taille ou proposer « du lourd », ils répondent encore à l’appel, et contrairement aux leurres durs, ils peuvent se modifier en un clin d’œil. Enfin, et ce n’est pas le moindre des détails, leur matière même facilite les ferrages, même en très grosse taille, ce qui n’est pas rien dans la pêche du brochet ! Et puis, ne gâchons pas notre plaisir, avec un peu de bricolage, ils ont un coût très raisonnable comparé à leurs homologues en résine, même si certains gros modèles du marché font une crise de jalousie et n’hésitent pas à concurrencer une Rolex.
Un peu de terminologie
Il y a souvent des confusions, ou du moins des désaccords, sur les appellations des différentes techniques d’animation des shads. Nous distinguons…
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant.