Ce sont de jeunes pêcheurs au lancer et au toc, compétiteurs pour certains, qui m’ont fait découvrir lors d’un Salon pêche à Clermont-Ferrand, des imitations en silicone de larves d’éphémères et plécoptères, de plus en plus utilisées dans leur milieu. Ils m’ont expliqué que pour mettre au point leurs créatures, ils s’étaient inspirés des nymphes et des montages à base de billes en tungstène et d’hameçons sans ardillon, dédiés à la pêche à la mouche.
De nouveaux horizons
Cet épisode a été un bon moment d’échange et de convivialité entre « leurristes », moucheurs et pêcheurs au toc, tous modernes, passionnés, aux esprits ouverts pour une éthique novatrice de la pêche sportive et respectueuse des poissons. Le genre d’instant correspondant tout à fait à ma démarche progressiste, un brin anticonformiste, pour des pratiques évolutives de la pêche à la mouche. Ce qui me plaît beaucoup, c’est cette fusion, ce mélange, qui s’accentue d’année en année entre les pêches à la mouche, au lancer et au toc, qui ont déjà fait évoluer chaque technique et ce n’est probablement pas fini! De plus, actuellement, en matièr
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?