Test du leurre Ancho - Caperlan

Caperlan est une marque en constante progression grâce aux nouvelles conceptions qu’elle propose au sein de sa gamme. Très à l’écoute de ses clients, et de ce qu’il se fait de mieux sur un marché concurrentiel, Caperlan sort son épingle du jeu en innovant avec des produits techniques parfaitement bien élaborés, dans le but de répondre précisément aux pêcheurs lambda et aux confirmés.

Polyvalence et efficacité

D’un point de vue design, ce leurre est parfaitement bien réalisé. Il dispose d’un œil 3D, d’une tête plombée et d’un corps en forme d’anchois, avec des écailles ultra-réalistes. Il existe en trois coloris et de différents grammages. Le point fort de ce leurre est bien évidemment le concept novateur avec son système texan, qui lui permet d’évoluer au plus près des zones escarpées, où se tiennent certains prédateurs. Ce système diminue nettement les accros lorsque l’on prospecte les reliefs du fond où les pertes de leurres sont fréquentes. L’Ancho est un leurre très polyvalent, il permet de pêcher dans toutes les conditions, et ce dans toutes les couches d’eaux, en employant les techniques appropriées comme les pêches en verticale, à gratter, en traction et à la volée. Les poissons réagissent activement aux différents signaux procurés par l’Ancho, et s’en emparent sans la moindre hésitation. En animation rapide et dans les eaux tumultueuses, il génère de forts battements avec sa caudale ainsi qu’un rolling prononcé sans que sa nage ne sature. De plus, son œil 3D surdimensionné fixé sur la tête plombée, qui dispose elle aussi d’un film holographique, rend l’Ancho plus réaliste dans ses déplacements, et donc plus pêchant. Il réagit également très bien lors d’animations plus lentes, grâce à sa matière souple. Sur des pêches plus profondes et sur des poissons moins actifs, l’Ancho fait également la différence. En le laissant dériver dans les courants, canne haute et ligne tendue, il évolue de façon naturelle sans même l’animer. Sa mobilité est remarquable aussi bien à la descente, que dans les phases de récupération. À ce moment précis, il émet des vibrations de basse fréquence, rendant les prédateurs moins méfiants, ce qui les incite à s’emparer du leurre.