En hiver, les silures font preuve d’une faible activité. Même si vous êtes un pêcheur confirmé, lorsque les silures sont gueules fermées, il devient très compliqué, voire impossible, de les faire bouger. Il faut alors mettre toutes les chances de son côté et cibler certains moments pour traquer les glanes.
1. Déjouer les pièges de l'eau claire et froide
Lors des premiers froids, les silures disparaissent des écrans de nos échosondeurs. Les micro-organismes et les algues meurent sous l’effet de la baisse des températures. L’eau s’éclaircit réellement sous la barre des 10 °C et les silures se font de plus en plus discrets. Ils sont tapis sur le fond et entrent dans une phase de léthargie. Il faut alors modifier sa tactique d’approche et faire raser lentement le fond à vos montages avec le risque permanent d’accrocher. Le but reste de présenter vos appâts ou vos leurres devant la gueule des poissons amorphes. Il ne faut pas hésiter à effectuer de longues dérives dans les parties profondes du cours d’eau. L’une des clefs de ces pêches hivernales reste la météo. Les silures perçoivent le moindre changement de température, en positif ou en négatif. Le soleil est un véritable allié dans cette traque. Les…
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