Lorsque l’on traque les percidés et notamment les sandres, bon nombre d’erreurs doivent être évitées. Lorsque j’étais enfant, la capture d’un sandre ou d’un brochet était synonyme d’une pêche réussie. Et pourtant, nous pêchions mal, tout comme la plupart des pêcheurs de cette époque d’ailleurs. Nous laissions souvent le hasard faire les choses en pensant que les poissons n’étaient pas actifs, et en remettant à demain de probables captures. Forcément, tôt ou tard, un poisson allait venir se pendre sur l’une de nos lignes. Même si nous prenions beaucoup moins de poissons qu’aujourd’hui, les carnassiers étaient pourtant bien présents. Mais alors, pourquoi nous n’arrivions pas à capturer ? Tout d’abord, car nous ne connaissions pas correctement les habitudes des sandres. Si en période estivale ils sont actifs dans peu d’eau, en hiver ces derniers redescendent dans les profondeurs. Lorsque les eaux sont claires
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