La pêche au vif n’est plus trop à la mode. C’est pourtant une technique accessible à tous permettant presque à coup sûr de réussir ses premières pêches. Toutefois, le choix du poste et de l’appât est crucial.
Bien qu’un nombre plutôt restreint de traqueurs de silure n’esche jamais de proies vivantes pour pêcher ce grand poisson, un rapide sondage sur les réseaux sociaux, sans aucune valeur scientifique donc, m’indique que quatre pêcheurs sur cinq recherchant spécifiquement ce carnassier au moins cinq fois dans l’année se tournent vers l’utilisation de vifs. Quoi de plus naturel, puisqu’il s’agit finalement d’exploiter l’essence même de la pratique de la pêche, basée sur l’existence dans les milieux vivants de réseaux alimentaires. Tous les êtres vivants d’un biotope doivent manger et tous ne consomment pas la même source de nourriture.
Quel(s) vif(s) ?
L’une des questions qui m’est le plus souvent posée est « quel est le meilleur vif pour pêcher le silure ? » La réponse ne se résume pas à une espèce mais à une analyse fondée sur la compréhension du réseau alimentaire à l’instant T de la partie de pêche. En matière d’espèces,…
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