Après avoir passé en revue, dans notre numéro d’octobre dernier, la grande famille des poissons-nageurs conçus pour la recherche du brochet, Michel Tarragnat s’est penché sur celle, tout aussi nombreuse, des leurres souples.
Les shads classiques
Les shads sont les plus utilisés, on en trouve dans toutes les boîtes : un corps de poissonnet et un paddle (flap caudal) qui nage et vibre à la récupération ou à la descente. Le shad est décliné dans toutes les tailles, de l’alevin de quelques centimètres au gros steak de 300 g. Les meilleurs ont généralement une gomme assez ferme ce qui leur permet d’émettre de plus fortes vibrations en récupération plutôt rapide ou avec des animations en dents de scie. Une exception à cette règle: un shad destiné à être armé en texan pour les secteurs encombrés doit avoir une gomme tendre (et de préférence une fente ventrale) faute de quoi les ratés au ferrage sont fréquents. La forme de la caudale a son importance: de faible surface mais lourde (massive donc), elle donne une nage serrée et des vibrations intenses. Plus grande, elle donne une nage ample avec plus ou moins de rolling selon qu’elle est épaisse ou mince (profil de disque).
Les Swimbaits
Un swimbait souple est un shad optimisé…
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